jeudi 20 mai 2010

[COVER SWIPE] EXCALIBUR # 16 / Frank FRAZETTA's JOHN CARTER OF MARS

[COVER SWIPE] EXCALIBUR # 16 / Frank FRAZETTA's JOHN CARTER OF MARS

Frank FRAZETTA a beau avoir débuté par des comic-strips, il n'a jamais percé dans le monde des comic-books. Il s'est fait connaître de par le monde pour ses illustrations de fantasy ou de science-fiction, générant une vague de peintures inoubliables pour des oeuvres comme CONAN.

C'est donc tout naturellement qu'il a inspiré les auteurs de comics. Si des bande-dessinées sont nées de certains de ses tableaux, comme le DEATH DEALER, d'autres ont puisé dans l'iconographie de FRAZETTA pour lui rendre hommage. Ainsi, si ledit DEATH DEALER est certainement son œuvre la plus copiée, on notera ici un hommage à son illustration du roman JOHN CARTER OF MARS (1912), d'Edgar RICE BURROUGHS.

Couverture d'EXCALIBUR # 16 (décembre 1989) par Alan DAVIS et Paul NEARY

Cette couverture d'EXCALIBUR # 16 (décembre 1989) par Alan DAVIS et Paul NEARY reprend la composition exacte du tableau, substituant NIGHTCRAWLER à John CARTER.

Frank FRAZETTA's JOHN CARTER OF MARS

dimanche 16 mai 2010

[THE ART OF] J.Scott CAMPBELL s'offre une NA'VI d'AVATAR

[THE ART OF] J.Scott CAMPBELL s'offre une NA'VI d'AVATAR

Dans les pages de son dernier sketchbook, intitulé MORE GREY AREA, J.SCOTT CAMPBELL s'est fendu d'une pin-up représentant NEYTIRI, une femme Na'vi héroïne du blockbuster 2009 AVATAR de James CAMERON.

NEYTIRI croquée par J.SCOTT CAMPBELL

Outre la possibilité d'apprécier une nouvelle fois le style si particulier de l'artiste, on se réjouira surtout de le voir illustrer cet univers qu'il semble avoir tant apprécié... à l'instar de millions de spectateurs. En tous cas, on se plait à rêver d'un comic-book AVATAR entièrement dessiné par J.SCOTT CAMPBELL, tant Pandora semble l'inspirer.

vendredi 30 avril 2010

[COVER SWIPE] WALKING DEAD # 75 / WALKING DEAD # 1

[COVER SWIPE] WALKING DEAD # 75 / WALKING DEAD # 1

Pour fêter le 75e numéro de la série WALKING DEAD de Robert KIRKMAN, Charlie ADLARD s'est fendu d'une variant-cover reprenant la composition de WALKING DEAD # 1, qui était à l'époque illustré par Tony MOORE.


Couvertures de WALKING DEAD # 75 et de WALKING DEAD # 1

Voici donc un swipe bienvenu, qui permet d'appréhender toute l'évolution du héros Rick Grimes, notamment la main dont il a été amputé. Même composition, même décor, même personnage, mais style différent, Charlie ADLARD jouant bien plus sur les noirs.

jeudi 29 avril 2010

[DESIGN] Nouveaux ennemis pour THOR par Pasqual FERRY

[DESIGN] Nouveaux ennemis pour THOR par Pasqual FERRY

Pasqual FERRY arrivera en juin 2010 sur la série Marvel consacrée au dieu asgardien THOR, avec Matt FRACTION au scénario. Ce-dernier va donner une nouvelle orientation à la série, qui renouera avec la science-fiction.

Une décision qui semble parfaitement s'accorder avec le style du dessinateur, comme le prouvent ces sketchs, publiés par l'artiste sur son blog, qui semblent représenter de nouveaux ennemis pour THOR. Faites donc connaissance immédiatement avec THELA, UTHANA THOT, PHANTO, THANE et NALLAH.

Sketch de Pasqual FERRY pour de nouveaux ennemis de THOR

Quoi qu'il en soit, après des années difficiles pour THOR, cantonné à Asgard et à la Terre, on se réjouira de le découvrir à nouveau dans un contexte cosmique.

mardi 27 avril 2010

[CONCEPT] OMNIVERSE: terrain de jeu des crossovers inter-compagnies I

[CONCEPT] OMNIVERSE: terrain de jeu des crossovers inter-compagnies I

L’omnivers (OMNIVERSE en version originale) est un concept qui englobe tous les univers et multivers, toutes les dimensions et réalités. Il comprend donc toutes les continuités des éditeurs Marvel, DC, Image, Dark Horse ainsi que chacun des univers existant, y compris notre propre monde. Tout est dans l’omnivers : aussi, il est donc logique qu’il n’y ait qu’un seul omnivers.

The Official Handbook of the Marvel Universe: Alternate Universes (septembre 2005) It includes every single literary, television show, movie, urban legend, universe, realm, etc. ever. It includes everyone from Popeye to Rocky Balboa to Ronald Reagan to Romeo and Juliet to Luke Skywalker to Snoopy to Jay and Silent Bob, Mickey Mouse, etc.

SOURCE
The Official Handbook of the Marvel Universe: Alternate Universes

Aussi, c’est parce que toutes ces histories appartiennent au même tout que se justifient les crossovers inter-compagnie (ou plutôt, c’est parce qu’il y eut dans les années 1980 des crossovers inter-compagnies qu’est apparu le terme d’OMNIVERSE afin de légitimer ces aventures).

DC VS MARVEL par Phil JIMENEZ

DC VS MARVEL: le choc des mondes

DC et Marvel s'imposent depuis des décennies comme les leaders sur le marché des comic-books. Avec des personnages ultra-populaires comme BATMAN, SUPERMAN, WONDER WOMAN, GREEN LANTERN et FLASH pour DC, SPIDER-MAN, les X-MEN, HULK, DAREDEVIL, ou encore les FANTASTIC FOUR pour Marvel, les deux firmes ont de quoi remplir leurs pages pendant encore longtemps. Mais parfois, l'envie dépasse cette simple idée, et certains ont aimé se demander ce qui se passerait si les héros de chaque éditeur se rencontraient le temps de quelques aventures.

C'est ainsi que les multivers DC et Marvel se sont régulièrement croisés depuis le milieu des années 1970: on citera notamment SUPERMAN VS THE AMAZING SPIDER-MAN en 1976, DC SPECIAL SERIES Vol. 1 # 27 qui opposa BATMAN à HULK, MARVEL TREASURY EDITION Vol.1 # 28 qui voit SUPERMAN et SPIDER-MAN, aidés de WONDER WOMAN et HULK, s'allier pour lutter contre PARASITE et DOCTOR DOOM en 1981, UNCANNY X-MEN & THE NEW TEEN TITANS en 1982, BATMAN/PUNISHER: LAKE OF FIRE, PUNISHER/BATMAN: DEADLY NIGHTS en 1994, DARKSEID VS GALACTUS: THE HUNGER, SPIDER-MAN & BATMAN, GREEN LANTERN/SILVER SURFER: UNHOLY ALLIANCE en 1995, BATMAN AND CAPTAIN AMERICA en 1996, UNLIMITED ACCESS, BATMAN & SPIDER-MAN, SILVER SURFER/SUPERMAN en 1997, SUPERMAN & FANTASTIC FOUR: THE INFINITE DESTRUCTION en 1999, BATMAN/DAREDEVIL: KING OF NEW YORK en 2000, pour finir avec JLA/AVENGERS en 2003.

JLA/AVENGERS par George PEREZ

De manière générale, il s'agit d'opposer les héros majeurs des deux firmes, ou de les allier pour lutter contre leurs ennemis respectifs. Quant à JLA/AVENGERS, l'intrigue est nettement plus travaillée, puisqu'elle interpénètre les deux multivers, jouant sur les différentes époques, et contraignant les héros des deux camps à retrouver des artefacts importants de chaque monde C'est alors l'occasion de nombreux combats, de nombreuses références à l'histoire de Marvel et DC, pour finalement aboutir à une alliance contre KRONA, ennemi de GREEN LANTERN, qui cherche à découvrir le secret de la Création en détruisant les deux multivers.

JLA/AVENGERS, dernier crossover en date pour DC et Marvel

AMALGAM: la fusion des mondes

Il ne faut pas oublier non plus le label AMALGAM, deux séries de one-shots publiées par Marvel et DC entre 1996 et 1997, qui reposent sur un concept simple: fusionner deux personnages appartenant à chaque éditeur et le faire évoluer dans une nouvelle continuité.

Le scénario met en scène des combats entre les héros de DC et Marvel, le résultat se jouant alors avec les votes des lecteurs. Dans ce contexte, le Spectre et le Tribunal Vivant décident de fusionner les deux mondes. Afin de préserver les deux multivers, les seuls êtres à avoir connaissance du mélange des multivers, à savoir AXEL ASHER, alias ACCESS, personnage créé pour cet event, et le Docteur STRANGEFATE, issu de la fusion du Doctor STRANGE et du Doctor FATE , lutteront aux côtés des héros amalgamés pour sauver l'omnivers et rétablir l'ordre.


LOBO THE DUCK et DARK CLAW, deux héros issus d'AMALGAM

Parmi les héros amalgamés les plus marquants, on retiendra l'incroyable LOBO THE DUCK, fusion de LOBO et HOWARD THE DUCK et DARK CLAW, fusion de BATMAN et WOLVERINE.

Quoi qu'il en soit, on le voit, le concept d'OMNIVERSE sert parfaitement les volontés des deux grands éditeurs de comics de faire rencontrer leurs héros respectifs par différents biais: après les rencontres entre quelques personnages, celles entre les univers, AMALGAM symbolise certainement l'apogée de ce mouvement, puisqu'il a permis de faire se rencontrer littéralement les concepts sur lesquels reposaient les super-héros DC et Marvel, donnant lieu à quelque chose d'absolument nouveau. Il sera d'ailleurs intéressant de noter que l'univers AMALGAM a été intégré par Marvel comme l'univers de la Terre 9602. Quant à savoir si le lecteur retrouvera un jour ces nouveaux super-héros, la question reste sans réponse...

Le logo d'AMALGAM

En tous cas, pour DC comme pour Marvel, ce qui se passe chez "l'autre" existe. Mais ce n'est pas seulement ça, car ils prennent également en compte ce qui se passe chez "les autres".

lundi 26 avril 2010

[THE ART OF] Travis CHAREST dépeint un Grendel Prime


[THE ART OF] Travis CHAREST dépeint un Grendel Prime

GRENDEL, personnage emblématique de Matt WAGNER, a connu de nombreuses incarnations depuis sa création en 1982. Et c'est précisément GRENDEL PRIME qui a inspiré en 2009 le dessinateur canadien Travis CHAREST qui s'est fendu de cette illustration du personnage.

GRENDEL PRIME dessiné par Travis CHAREST

Le cyborg y apparaît alors plus sombre que jamais, et on notera plus que jamais la ressemblance entre ce personnage et SPIDER-MAN dans son costume symbiotique noir de VENOM, qui n'est apparu pourtant qu'en décembre 1984 dans les pages de SECRET WARS # 8.

[GRAPHICS] La composition selon Jonathan HICKMAN

[GRAPHICS] La composition selon Jonathan HICKMAN

Avant de faire les beaux jours de Marvel en tant que scénariste sur les séries SECRET WARRIORS, FANTASTIC FOUR ou encore S.H.I.E.L.D., Jonathan HICKMAN est surtout connu pour son talent d'illustrateur et ses compositions originales, notamment dans son comic-book paru chez Image en 2006, THE NIGHTLY NEWS.

Particulièrement riches, ses planches en mettent vraiment plein la vue, conférant une ambiance particulière au tour, accumulant de nombreuses informations de manière originale, pour une expérience formelle totalement inédite. Bien entendu, cela ne va pas sans mal, car la lisibilité du layout souffre et l'ensemble est assez statique. Néanmoins, il s'agit là d'un style unique, qui justifie à lui seul l'achat de THE NIGHTLY NEWS.

Trois planches qui ont convaincu Image de le laisser réaliser THE NIGHTLY NEWS

Un an plus tard, en 2007, l'artiste reviendra, toujours chez Image, avec PAX ROMANA, une série sur laquelle il expérimentera d'autres types de mise en page, toujours aussi denses et originales.

[MERCHANDISING] THE PHANTOM s'offre une statue chez Sideshow

[MERCHANDISING] THE PHANTOM s'offre une statue chez Sideshow

A l'occasion du 70e anniversaire du PHANTOM en 2006, Sideshow s'est associé à Electric Tiki pour sortir une statue rendant hommage à ce héros inoubliable des pulps dans sa collection de Héros Classiques. C'est ainsi que ce personnage créé par Lee FALK en 1936 se retrouve sculpté par Ruben PROCOPIO à l'échelle 1:6 ! Un magnifique objet reproduisant parfaitement le Fantôme du Bengale, et de surcroît limité à 500 exemplaires numérotés. Le tout pour 149.99$.

La statue du PHANTOM sortie chez Sideshow en 2006

[CRITIQUE] Travis CHAREST: Enter the SPACEGIRL

[CRITIQUE] Travis CHAREST: Enter the SPACEGIRL

L'artiste canadien Travis CHAREST s'est permis un petit plaisir en marge de sa production pour les grands éditeurs: réaliser un titre original, publié régulièrement sur le web, qui conterait case après case les aventures d'une SPACEGIRL. Particulièrement influencé par l'école Métal Hurlant, il signe alors une aventure particulièrement originale, confrontant son héroïne à l'inconnu d'une planète désertique où elle se retrouve confrontée à d'étranges situations.

Couverture française de SPACEGIRL

Ses 56 premières pages sont si jouissives qu'elles ont rapidement été compilées dans un ouvrage vendu exclusivement dans les conventions aux Etats-Unis, avant d'être repris en France par l'éditeur Semic Carabas, qui permet donc de se procurer cette nouvelle graphique en volume relié, de manière exclusive dans le monde.

L'histoire de SPACEGIRL est tout ce qu'il y a de plus basique: son vaisseau étant endommagée, la guerrière de l'espace qui donne son titre à l'ouvrage se voit contrainte de se poser sur un monde qu'elle ne connaît pas. Aussitôt, elle se retrouve attaquée par des robots tueurs appelés Méga-Borgs, et elle se réfugie dans un tunnel qui la mène au cœur d'une citadelle improbable, guidée par une voix qui résonne dans sa tête. Elle ne tarde pas à faire connaissance avec le propriétaire de cette voix, un homme emprisonné, doté de pouvoirs bio-électriques et qui se fait passer pour le dernier survivant de la guerre qui a ravagé cette planète.

SPACEGIRL découvre un monde ravagé, sans savoir qu'elle est espionnée...

Aussitôt, la jeune SPACEGIRL décide de l'aider à fuir son bourreau s'il lui trouve un moyen de partir. Alors qu'ils trouvent un vaisseau, ils tombent nez à nez avec le maître des robots, un vieillard qui n'a rien à envier à l'Empereur Ming du comic-strip FLASH GORDON. Ce-dernier tente de convaincre la guerrière de l'espace que la situation n'est pas celle qu'elle croit, mais elle refuse de l'entendre, et il se fait descendre par le prisonnier en clamant que c'est lui le dernier... SPACEGIRL et son acolyte embarquent, et tandis que le vaisseau parvient à s'extirper de la base avant son auto-destruction, ils se dirigent vers la station spatiale de la Lune Delta.

SPACEGIRL aux prises avec les Méga-Borgs

Le piège tente alors de se refermer, et le prisonnier révèle ses plans... Mais la jeune femme avait compris son manège suite aux révélations du vieillard, et elle s'éjecte du navire sans demander son reste, dérivant alors dans l'espace.

L'épilogue déplace l'action au cœur du croiseur de combat lourd Strikker, au fin fond de la nébuleuse Greeg. Sur le pont, le commandant est informé que le signal de Béta-1-1 a été repéré, ce matricule renvoyant à celui de SPACEGIRL, qui est qualifiée de traîtresse, et que le Cadet Alpha, une autre spacegirl, est envoyée éliminer.

SPACEGIRL menacée par le maître de la citadelle

On le voit, l'intrigue met du temps à se mettre en place, mais l'idée esquissée par la conclusion du volume augure du meilleur avec au programme une rencontre haute en couleur entre deux guerrières de l'espace. Dans le même ordre d'idées, le fameux prisonnier pourrait signer son retour.
Le prisonnier révèle ses sombres intentions

Aussi, bien que la forme d'une case par page ne permette pas une narration des plus fluides, elle offre au lecteur la possibilité de découvrir de splendides planches réalisées par l'artiste. De plus, l'univers dépeint reste sympathique, renvoyant au meilleur du space-opera et aux histoires qui firent les beaux jours de Metal Hurlant. Face à un ouvrage de cette qualité, qui offre aussi bien des planches en noir & blanc qu'en couleurs réalisées par CHAREST lui-même, on ne peut qu'attendre impatiemment la suite, d'autant plus que le dessinateur se fait particulièrement rare en raison de son rythme de travail... En attendant, on pourra se reporter aux ARMES DU META-BARON, dont il a illustré une grosse partie des pages, et qui s'installe lui aussi dans la veine de Metal Hurlant, scénariste et éditeur oblige !

dimanche 25 avril 2010

[WORK IN PROGRESS] ANONYMAN s'offre une pin-up par Kenneth ROCAFORT

[WORK IN PROGRESS] ANONYMAN s'offre une pin-up par Kenneth ROCAFORT

ANONYMAN, super-héros s'imposant parmi les encore trop rares french-comics à faire leur apparition sur le marché, s'est vu offrir une pin-up réalisée par l'artiste Kenneth ROCAFORT des studios américains Top Cow (HUNTER/KILLER, MADAME MIRAGE).

Crayonné et mise en couleur d'ANONYMAN par Kenneth ROCAFORT

Outre cette illustration dont vous pouvez découvrir un work in progress ci-dessus, il faut savoir que le dessinateur a également réalisé l'illustration de couverture du premier tome d'ANONYMAN des français Thomas RIVIERE, Alexandre BOUSCARY et Frédéric MUR, de quoi offrir à leur titre un maximum de visibilité parmi les myriades de titres US.

[THE ART OF] Tim BURTON fête un anniversaire avec BATMAN & ROBIN

[THE ART OF] Tim BURTON fête un anniversaire avec BATMAN & ROBIN

Tim BURTON, célèbre réalisateur qui a notamment donné naissance aux deux films dédiés au Chevalier Noir, BATMAN (1989) et BATMAN RETURNS (1992, sorti en France sous le titre BATMAN, LE DEFI), était à la base illustrateur. Aussi, il use de temps à autres de ses talents pour croquer certains personnages, comme ces BATMAN & ROBIN qu'il a dessiné en guise de carte à l'occasion de l'anniversaire de son ami Anton FURT, set designer sur le film BATMAN.

BATMAN & ROBIN croqués par Tim BURTON

Il est en tous cas particulièrement appréciable de découvrir une autre facette du talent du réalisateur, notamment quand il en use pour reprendre ces personnages à sa sauce, leur conférant un aspect cartoon très inhabituel, mais particulièrement envoûtant ! On se plait alors à imaginer ce que serait un film ou un comic-book BATMAN avec ce style-là.